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La GUERRE des ONDES SCALAIRES (Partie 1)

ONDES SCALAIRES - SCALAR WAVES.jpg

La GUERRE des ONDES SCALAIRES (Partie 1)
Transcription texte de cette vidéo: https://youtu.be/nVkSwP1o8oQ

 

Professeur Konstantin Meyl, La guerre des
ondes scalaires.


La guerre des ondes scalaires est toujours d’actualité, elle détermine en secret
notre politique, mais elle se fait facilement oublier. Les médias se taisent et ne font,
quand il survient, que rapporter un fait de guerre sans plus. Seuls les politiques
réagissent. ll s‘agit d’une guerre froide, dont les armes restent secrètes.
L’onde scalaire est décrite mathématiquement grâce à l’équation d‘onde de
Laplace, et pas par l’équation de Maxwell telle qu’elle est formulée à l’heure
actuelle. L'auteur, connu pour ses recherches sur les
ondes scalaires, a pu dériver celle-ci grâce a un élargissement ciblé des équations
de champ, dans laquelle la 3e équation de Maxwell est différente de zéro. Mais
celui qui croit que ce sujet serait traité scientifiquement, se trompe, car ce qui touche
a Ce domaine va être moqué et combattu. L'auteur sait malheureusementde
quoi il parle, caril l’a lui-même vécu. Les ondes scalaires ont été étudiées jusqu’à
aujourd‘hui, depuis leur découverte par Nikola Tesla, puis àla suite de l’expérimentation
dans la Tunguska et aussi d‘après ce que l’on en sait, lors
de la mise en service de la cloche des nazis (image de couverture). Les crop circles qui
servent de test a des tirs d’ondes scalaires à distance, comme l‘utilisation de ces
ondes en tant qu’armes de guerre entre l‘Ouest et l'Est, dessinent l’image contemporaine
de cette guerre des ondes scalaires.
1. L’utilisation des ondes scalaires aujourd’hui. La fin de la guerre.
A Téhéran, les gens dansent dans la rue et se réjouissent
de la ?n de sanctions ayant duré des dizaines d’années.
Au parlement, le Ministre iranien des Affaires étrangères
est acclamé. Des images de la DPA le montrent avec le
sourire d’un vainqueur. En Amérique, le Président Barak Obama se
félicite, en ce sens qu’il parle lors d’une interview
télévisée d’un « progrès historique ». Ainsi le plus belliqueux
de tous les Prix Nobel de la Paix se tape—t—il
lui—même sur l’épaule, et se présente—t—il comme
un artisan de la Paix. Un peu plus modeste sera l’allocution du
Ministre allemand des Affaires étrangères. D’autant
qu’il s’agit là d’un succès personnel. Nous supposons qu’il
a lui- même sabré le Champagne et qu’il a trinqué
à cette victoire dans sa cave, ce à quoi aucun journaliste
n’a été convié.
Je rends compte ici de la journée du 1612016, le jour
où il n’y eut que des vainqueurs, et où le prix du pétrole
est tombé au plus bas depuis quelques 13 années.
C’était le jour, au cours duquel le Chef du Bureau de
l’énergie atomique pouvait annoncer que Téhéran avait
rempli toutes les conditions de ce que l’on a pu appeler
le « désengagement atomique ». En fait, de l’Iran, des
milliers de centrifugeuses destinées à l’enrichissement de l’Uranium, mais aussi de l’uranium
déjà enrichi, avaient été envoyés par bateau vers la
Russie. Ce qui fut présenté par les médias comme
le « règlement d’une querelle sur l’énergie atomique
», était en réalité la ?n d’une guerre commerciale qui avait été
décrétée contre l’Iran par les pays occidentaux sous
la direction des Etats—Unis durant des décennies. C’est
ainsi que pour tous les iraniens, il s’agissait de
la ?n d’une longue période de privations de toutes sortes. Ce
peuple ?er pouvait en?n respirer à nouveau. La guerre
était ?nie. Mais n’était—ce qu’une guerre commerciale
? Si nous devons l’appeler par un nom, nous devrions
plutôt parler de « guerre froide » ou bien d’ores
et déjà de « guerre des ondes scalaires ». Nous avons
encore à l’oreille les menaces en provenance d’Amérique,
de transformer la guerre froide en guerre brulante
! Bienheureusement, cela n’est pas arrivé.
En la matière, les américains n’ont pourtant pas eu de
réserve à entrer en campagne contre la Lybie, l’Irak ou la
Syrie. Qu’est— ce qui a pu les empêcher alors, doit—on
s’interroger, de mener une guerre ouverte contre l’Iran ?
Pour celui qui souhaite s’offrir une vue un tant soit peu
claire de la situation mondiale, au travers de toutes les
fausses nouvelles dispensées par les médias, se posent
de nombreuses questions restées sans réponse !
Lorsqu’une guerre vient à se terminer, il y a normale—
ment un vainqueur et un perdant. Ce dernier doit, c’est
bien connu, « bouffer de la craie ». Quand l’Iran en un seul jour, peut à nouveau
exporter gaz et pétrole et a droit à des transferts
internationaux d’argent, tout en voyant ses comptes gelés
à l’étranger être de nouveau disponibles avec retour possible
de l’argent qui lui appartient, cela ressemble
au butin trés abondant d’un vainqueur. Ses avions ayant
à nouveau le droit de se poser sur les aéroports européens
? Et en même temps, une commande plus de 100 avions
airbus était envisagée. Non, un perdant ne parle
pas ainsi. Cela signi?e—t—il au
contraire, que Barack Obama, en tant que Président des
Etats—Unis, a du « bouffer de la craie » ? Or si cela était, jamais
il ne l’aurait concédé. De plus, il a fait savoir en même temps,
que les USA — en dehors de l’ONU et de l’EU — voulaient
poursuivre les sanctions contre l’Iran mais seulement dans le
domaine limité de la construction de fusées. Dans la situation
actuelle, ces déclarations apparaissaient plutôt comme
celles d’un perdant ?
Car celui qui déclare un embargo, sur le marché
ouvert d’un monde globalisé, ne lëse que son propre
commerce. Etait—ce cela le but des USA ?
Des bateaux US confisqués. La nouvelle peut—être la plus importante
de la semaine n’avait été relevée par aucun média,
pas même sous la forme d’une brève. Le pentagone devait
faire connaitre que 2 bateaux US avaient été con?squés
par l’Iran. Soi— disant, il était apparu en même temps sur
les 2 bateaux en mission d’entrainement des problèmes
de transmission électronique. L’agence d’information
DTS a l’aide de leurs moteurs, pendant que les nouvelles du
soir en Allemagne parlaient d’un défaut de navigation—
GPS (2). C’est alors que le téléspectateur devant
son poste de TV se demande ce que les marines US ont bien
pu mener comme entrainement entre le Koweit et Bahrein
? Et un peu plus loin : chaque soldat n’a—t—il
pas dans sa poche un téléphone mobile avec une application
pour la navigation ? Tous les appareils électroniques
étaient—ils devenus inutilisables ? Cela parait en tout
cas être le cas, sinon les soldats US ne se seraient pas
égarés en eaux ennemies. Soi—disant 2 soldats du corps
des Marines avaient essayé sans succès de changer
leur carte—SIM ?
Les iraniens ont montré trés ?èrement leur butin dans
leurs médias ainsi que des images des prisonniers, auxquels on avait servi la délicieuse cuisine
iranienne ; certes, ils avaient été bien traités, ce
qu’ont admis les prisonniers eux—mêmes.
Cet incident particulièrement douloureux pour le
Pentagone a eu lieu le Lundi 11.1.2016. Et déjà le
déclaré, que les bateaux de commandos avaient été
Mardi, Téhéran et Washington s’étaient mis d’accord et
les 10 soldats techniciens US désarmés devaient regagner leur bateau et partir. On ne sait
pas s’ils ont du pagayer au retour ou bien si le brouilleur/émetteur
iranien a alors été stoppé ! 4 jours plus tard encore, la ?n de la guerre
économique des USA contre l’Iran a été proclamée.
Tout cela n’est—il que le hasard ?
Ou bien l’Iran dispose-t-elle d’une arme par laquelle
l’électronique peut être brouillée, voire complétement
détruite, une arme qui est complétement inconnue à
l’Ouest ? On peut en tout cas établir de manière certaine
que l’Alliance de défense nord—atlantique en général et
les soldats en cause en particulier ont laissé l’impression relative d’étre véritablement
sans possibilité de secours. Je dirais même qu’ils avaient
peur Est—ce à cause de cette arme que l’OTAN
n’a appréhendé le probléme iranien que sur la pointe des
pieds ? Les occidentaux sont—ils sous pression ou au
minimum sous la menace d’un chantage ? Dans les cercles
militaires tout est secret, et en particulier les informations
concernant les défaites. Normalement on apprend seulement du vainqueur, lorsqu’une manifestation
of?cielle a eu lieu.
Des drones au-dessus de l’Iran.
Le 4 Décembre 2012, l’armée
iranienne a divulgué le fait qu’elle avait
capturé un drone américain du type
Scan—Eagle, qui avait bel et bien pénétré son espace aérien.
Par ré?exe le pentagone a menti : il n’avait perdu aucun
drone ; pour leur répondre, la télévision iranienne
a montré les jours suivants le drone parfaitement intact. Le
Président US Obama réclama alors la restitution du drone
et admis bien sûr par—là que ce drone perdu existait
bien ! Vraisemblablement, le drone a du être capturé
par une méthode électronique ; apparemment l’électronique
de bord ne fonctionnait plus, si bien que le drone ne
pouvait ni rentrer à sa base, ni activer le mécanisme
d’auto—destruction. D’autres tentatives d‘explications,
comme la connexion radio qui aurait été brouillée, le
système GPS déprogrammé ou encore que des données
électroniques auraient été manipulées, sont spéculatives
et sans intérêt. Le mécanisme d’auto—destruction empêche de telles manipulations de données.
De fait, sur ce drone de type RQ—170 l’électronique
au complet — et non pas seulement une partie — avait
été désamorcée. Or ceci n’est possible que grâce à une
arme utilisant une onde scalaire magnétique. Mais comment pourrait—elle
fonctionner ? La Fondation Keshe.
« Les drones US ont été capturés dans le ciel et ramenés
sur terre grâce à ma technique » ainsi parlait Mehran
Tavakoli Keshe à quiconque voulait l’entendre et aussi à
tous ceux qui n’y étaient pas forcément disposés. Avec
cette af?rmation, le perse se propulsait lui—même dans
les bras des services secrets occidentaux. Ceux—là se
démenèrent en tous sens pour le suivre pas à pas, le
surveiller et lui faire de l’ombre ! En vue d’une reconnaissance universitaire,
Mr Keshe a cherché à me contacter, moi qui suis un
Professeur au service de l’Etat, dans le domaine des technologies
utilisant l’énergie électrique. Mr Keshe s’adressa à moi
pour la première fois, dans la halle communale de
Heidelberg, lors d’un congrès de la DGEIM, dont je suis
le vice—Président. Il se présentait comme l’inventeur
d’une nouvelle technologie. Les ressources ?nancières
pour cela ayant pour origine une fondation dont le siège
social était en Hollande. Tout cela sonnait comme étant
beaucoup de bavardage, aussi je voulus l’inviter à une
conversation personnelle à Villingen, pour ensuite
prendre part a une réunion de démonstration au sein
même de son établissement, le 2 1 Septembre 2012.
Le centre d’enseignement dans lequel je fus invité, se
trouvait dans un cabinet dentaire loué à Ninove, en
Belgique. Nous n’avons malheureusement pas eu
l’autorisation de voir son atelier de recherche, pour
autant que celui—ci existàt. Non plus l’objet de ses
présentations, ce qu’il avait pourtant annoncé, à notre
grand regret. Le seul sur place, qui pouvait alors faire la
démonstration d’un quelconque effet sur—unitaire et
aussi de phénomènes de lévitation, c’était moi !
îcc:! Ken
Environ 100 participants étaient venus des 4 coins du
monde, uniquement pour voir la spectaculaire technique
Keshe. A côté d’amateurs, mais aussi de techniciens
professionnels, étaient présents quelques diplomates ou
bien leurs assistants. Et ce qu’il leur dispensa alors,
était selon ses propres mots une « éducation ».
Mais je voulais quant a moi savoir exactement ce qu’il
en était et j’essayais alors de me faire une juste idée de
la situation. Cela apparaissait de prime abord comme
les petites pièces d’un puzzle semble—t—il complètement
indépendantes les unes des autres, que je commençais à
rassembler patiemment. En conséquence de quoi mon
interprétation comprend encore aujourd’hui certaine—
ment des fautes ou des imprécisions. Il apparait ainsi
que : En Iran travaillent des ingénieurs à une
technologie futuriste, qui est apparemment inconnue à
l’Ouest. Celle—ci fait bien évidemment peur et les
militaires iraniens veulent l’utiliser a?n de mettre
en veilleuse la menace permanente de guerre de la part des
américains. Mais au fait, à quoi sert d’agiter le spectre
de la guerre dans la lointaine Iran, si pas un américain
ne le remarque ? C’est pourquoi l’Iran voulut
porter la nouvelle de cette technologie plus à l’Ouest.
' C’est ainsi que fut missionné Mr M. T.
Keshe, qui parle l’anglais comme une seconde langue maternelle,
du fait qu’il a grandi à Londres. Il reçut de
l’argent, qu’il plaça dans une fondation destinée à cela. La mission
rémunérée consistait à traduire en anglais les brevets
iraniens et a les déposer auprès d’organismes de brevets
occidentaux. Bien sûr, il n’y avait dans ces écrits rien
qui dévoile ces technologies et aussi aucune revendication ne fut donnée et encore moins
obtenue pour ces brevets. Le but de l’of?cialisation
de ces brevets était uniquement une reconnaissance internationale.
Jusque—là, on peut considérer que ce but a été atteint.
C’est alors qu’émergea un problème : lors du dépôt d’un
brevet l’inventeur doit être connu et mentionné ; comme
les ingénieurs iraniens compétents voulaient au
contraire rester inconnus, M. T. Keshe remplit alors le
rôle de découvreur et la procédure put aller jusqu’à son
terme. Mais à présent, tout le monde veut savoir auprès
de celui qui n’est qu’un simple traducteur, comment
cette technologie de pointe fonctionne ? Quoiqu’il en soit, en la matière, il est
question d’un champ magnétique gigantesque d’un ordre
de grandeur de 20 Tesla et plus ; une performance qu’atteignent
déjà dif?cilement les aimants supraconducteurs
les plus modernes. En ce qui les concerne, il faut
une dépense d’énergie tellement grande, rien que pour
le pré- refroidissement des composants spéciaux avec
de l’azote liquide, puis avec de l’hélium liquide
pour le refroidissement complet, qu’aucun système
mobile, c’est—à—dire transportable, n’est
imaginable. Comment cela fonctionne—t—il alors ? Serait—il
donc question de cette supraconductivité à température ambiante,
recherchée depuis si longtemps à l’Ouest ? Et l’Iran
maitriserait cette technique ? C’est à peine croyable
Sous la pression du résultat. Peu à peu, je compris l’obligation de résultat,
à laquelle s’était soumis le traducteur, Mr Keshe.
Il s’était présenté comme un inventeur, sans rien savoir de ce
qu’un in— venteur aurait dû normalement connaitre.
Il faisait sur moi l’impression d’être abandonné, bien
contre son gré. Mais à l’inverse, il devait donner l’impression
d’une grande compétence professionnelle, ce qui
faisait qu’une petite communauté de personnes, pas considérable,
croyait fermement en ses compétences. Et cela devenait
pour lui une exigence bien plus grande encore ! Certains
diplomates le tenaient même pour un agent double. Il lui
était impossible d’être tranquille et de bien se sentir
après tant de publicité, et rien que pour cela sa
situation était très inconfortable.
Par ailleurs dans l’autre sens, le traducteur devait se
battre auprès de ses hommes de l’ombre pour la
publication de modèles fonctionnels, sur lesquels il
puisse asseoir sa crédibilité. Mais ?nalement, ceux—ci
l’ont largement laissé tomber. On l’a envoyé en première
ligne à nouveau avec un jouet à plasma quelconque, avec lequel il avait le droit de se mettre
en avant sur le Marché pour la cause iranienne. En vérité,
sa situation n’était pas enviable. Et dans les faits,
il avait même le droit d’en vouloir à quelqu’un.
Dans l’urgence, il a cherché le conseil d’un physicien qui
puisse désormais le supporter. En commun avec lui, il a
ébauché un modèle qui se vend désormais sous la forme
d’un livre en 3 tomes. Lors de la réunion déjà
mentionnée du 21 Septembre 2012, il s’adressa à moi
en ces mots : « comment votre modèle électronique envisage—t—il de contenir à parts égales
la matière et l’antimatière, sans rayonner de manière
diffuse » ? Sitôt sa question posée, Mr Keshe vint vers moi,
me serra la main et me congratula pour avoir compris son
modèle et l’avoir reconnu.
Je ne comprenais plus ce qui m’arrivait, car il n’avait
répondu à mes questions en aucune manière. C’est
seulement par la suite, lorsque je revoyais la scène sur
internet, que le lien m’apparut clairement : il n’avait pas
besoin d’écouter ma réponse et j’étais présenté, comme
si je con?rmais son modèle d’explication non physique !
C’est pour cela qu’il m’avait invité. Je me sentais ?oué.
La physique n’était et n’est pas vraiment son métier;
mais il se devait de maitriser son rôle de « connaisseur »
devant le grand public. Et pour cela il fut parfait.
Et quant à l’OTAN, a—t-elle désormais plus de respect
pour la haute technologie iranienne ? Pas vraiment,
devrais—je dire. Il ne s’agit là que d’un feu de paille, a?n
d’aveugler les « chercheurs en énergie libre ».
Les objectifs des militaires professionnels calculateurs
sont tout autres, et ils ne se laissent impressionner que
par des faits crus. Avec des pseudo—brevets vides de
sens, il n’y a rien à espérer auprès d’eux. Les appareils
doivent être sortis des hangars et amenés sur le front, et
on voit ensuite si des champs magnétiques puissants
ont bien le pouvoir d’étre ef?caces ? Et il doit être alors démontré, qu’effectivement
des appareils électroniques, en fonction de la
distance à une source de champ magnétique sont bien in?uencés,
perturbés, dérangés de manière durable, voire à la ?n
carrément détruits ? Des phénomènes d’induction sont
responsables de cela dans des composants semi— conducteurs ou bien sur des platines électroniques,
dès lors que de telles fortes tensions sont induites
dans des circuits fermés de conduction, jusqu’à
ce que les semi— conducteurs soient détruits.
Comme il est impossible de se protéger de champs
magnétiques, des commutateurs peuvent aussi être
détruits, même s’ils se trouvent dans des cages de
Faraday imperméables aux hautes fréquences. Interrogé sur cette question centrale d’ordre
physique de ses brevets, Mr Keshe ne put donner aucune
réponse, bien qu’il dût certainement comprendre
malgré tout mon anglais technique et bien qu’il se présentât
comme professionnel. Lui—méme, dans la recherche
de nouveaux projets et de moyens ?nanciers, est
toujours actif et il essaie de ne pas tomber dans l’oubli.
Avec le recul, l’activité de cet homme, simple
traducteur farsi— anglais, ne peut être considéré que comme
un épisode de la guerre froide, et il appartient désormais
au passé.
Coalition autour des ondes scalaires Les USA ont encerclé l’Iran avec des bases
militaires d’observation: en Irak, en Syrie et de l’autre
côté en Afghanistan. Vis—à—vis de l’Iran, les
soldats américains ont toujours respecté une certaine distance.
Il a été démontré combien cela est nécessaire, ne
serait—ce que — entre autres raisons — par les 2 drones
capturés, ainsi que par les 2 bateaux de commandos—US interceptés
dans le golfe persique. L’observateur avisé ne peut pas
méconnaître le fait que désormais de nouvelles alliances
et de nouvelles coalitions militaires se sont formées.
Malgré le peu d’informations à notre disposition, il nous
est permis de comprendre les nouvelles alliances pour
un même but entre l’Iran et la Russie. Bien sûr
personne ne nous en explique les détails. A nouveau, ce
sont seulement les faits sur le terrain de bataille, qui
nous renseignent sur l’état du travail en commun.
S’agit—il d’un transfert de technologie, par exemple sur
l’usage pratique des ondes scalaires a des ?ns militaires,
alors nous ne pouvons pas savoir quelle est la part
apportée par l’Iran d’une part ou bien par la Russie
d’autre part. Il y a pourtant un faisceau de présomptions,
selon lesquelles l’Iran aurait disposé en premier
de la technologie magnétique. Mais à cause du
boycott commercial international, l’Iran n’a pas
été dans la situation de produire en masse les générateurs
adéquats. C’est seulement le partenariat avec la Russie
qui a permis de changer, avec une vue du côté militaire
des choses, la feuille de l’histoire du monde.
Même si ces nouvelles armes avaient tout d’abord été
prêtées par l’Iran aux russes, il semble qu’ils en aient
trés vite compris le fonctionnement. En un temps très
court, elles ont été répliquées en masse, puis introduites
et testées aussitôt sur le champ de bataille en Syrie. Et
ainsi que cela a été démontré, elles fonctionnent parfaitement.
Les 6 tornades allemands, les derniers nés d’une
génération appartenant à une ?otte d’aviation autrefois
?ère, ceux—là mêmes qui peuvent se tenir en l’air avec
leur propre propulsion et qui servent en Syrie en tant
qu’éclaireurs, ont rapporté des problèmes d’ordre
électronique (4). Les machines ne peuvent voler que de
jour, car les pilotes constatent que leurs systèmes de
navigation sont rendus aveugles de nuit. N’est—ce pas
bizarre pour un jet de combat, qui en réalité après 30
ans de développement, devrait être arrivé à pleine
maturité ? Même l’appareil GPS le moins cher présent
dans n’importe quelle petite voiture de tourisme,
réduit la luminosité de son écran, a?n de ne pas aveugler
le conducteur. Et sur un des jets de combat les
plus chers, cela ne pourrait se réaliser ? Pourquoi le
transfert électronique de l’écran en fonctionnement
nocturne ne peut—il se déclencher ? On pourrait facilement
s’imaginer qu’il y a bien des parasites sur l’image,
qui aveuglent l’écran.
L’aveu de l’OTAN. Lors d’une conférence de presse, le Général
en chef de l’OTAN donna une image crue de la situation
délétère dans laquelle l’alliance nord—atlantique
se trouvait durant les derniers mois, ainsi que le rapporta
le Washington Post. Il se plaignit de l’existence
d’une « bulle électronique » au-dessus de la
Syrie, qui faisait obstacle aux interventions de l’OTAN de
manière extrêmement préoccupante, c’est—à—dire
en fait qu’elle les empêchait complètement. La communication
était perturbée dans un cercle de 300 km, les radars
étaient aveuglés, les écrans des caméras de reconnaissance
ne montraient rien d’autre que de la neige,
les images satellite étaient impossibles à réaliser,
les appareils ultra—modernes de navigation entraient en
défaillance et beaucoup plus encore (voir OS Net 11/2015)
(5). Selon les mots du Général de l’OTAN, il
s’agissait là déjà de la troisième utilisation de ces armes
par les russes en Europe. La première et la plus ancienne,
disait—il, avait eu lieu dans les états haltes où une base
marine russe à Kaliningrad dispose de possibilités de cette
nature. La 2e zone, avec une origine en Russie, couvre
la Mer Noire jusqu’en Crimée. Et actuellement
la 3è bulle électronique est stationnée au—dessus
de la Syrie, et elle provient de l’armée russe qui est basée
dans la Province de Latakia. Il synthétisa la situation en
af?rmant que la Russie empêche l’OTAN d’avoir un accès
libre à la mer Baltique, à la Mer Noire et à la Méditerranée.
« Ces capacités de défense aériennes très sophistiquées
ne sont pas dirigées contre l’Etat Islamique, mais contre
quelque chose d’autre » a dit le Général et il pensait par
la à lui—même et à l’OTAN tout entier. Son aveu de
défaite est déjà vieux de plus de 3 mois (NDT : en Juin
2016) et chaque jour nous apprenons des nouvelles sidérantes en des mots trés choisis !
Un peuple qui est maintenu idiot est plus paci?que que
celui qui connait la réelle situation de menace !
Ainsi Internet est-il ouvert à tous, en tout cas pour le
moment. Sur ce réseau, aucun secret ne le reste bien
longtemps : chacun peut s’informer ou au minimum se
démener pour ?ltrer un corpus de vérité à partir
d’annonces émanant a la fois de la propagande venue de
l’Est, comme de l’Ouest. Mais les nombreuses personnes
qui partent chaque jour au travail et qui tirent leurs
informations du seul journal du soir, ne font pas partie
d’après mon expérience, de ces gens curieux. Je voudrais faire plus loin le rapport d’une
de ces nouvelles incroyables, mais réelles! Seulement
2 pour 100 des étudiants de mon amphi avaient entendu
parler de cet incident en Mer Noire. Et la perception
par le grand public devrait certainement s’établir
en dessous de 1%. C’est effrayant, lorsqu’on pense
que mon commentaire fut spontanément de dire: « c’est
plus qu’une défaite de l’OTAN, c’est déjà
une guerre perdue ». Le fait est qu’un tel événement ne parvient
à être connu of?ciellement que par presque personne !
Le destroyer détruit. RIA Novoski a diffusé la nouvelle, selon
laquelle un avion bombardier russe de type SU—24, qui
était équipé avec le complexe le plus avancé de neutralisation
radio— électronique, a paralysé en Mer Noire le
système de combat américain le plus moderne « Aegis
», embarqué a bord du destroyer « Donald Cook ». Peu à
peu arrivés dans le domaine public, on put lire des détails
de l’incident sur internet. Avec mention de
l’incident en Mer Noire, le Général de l’OTAN a con?rmé
la véracité de la nouvelle à postériori. L’académie des
sciences de Russie en a fait un rapport détaillé (3) :
missiles de croisière Tomahawk à bord, a atteint les
eaux neutres de la Mer Noire. Le but était de conduire
une opération d’intimidation et une démonstration de
force, en lien avec la position de la Russie en Ukraine et
en Crimée. La présence de bateaux de guerre américains
dans ces eaux vient en contradiction avec la convention
interne dictant le caractère et les conditions de séjour de
bateaux de guerre, n’appartenant pas aux pays riverains
de la Mer Noire. En réponse a cette présence, la Russie a
envoyé un avion SU—24 désarmé pour un survol du
destroyer américain. Cet avion avait été toutefois,
selon l’avis d’experts, équipé du complexe de combat
électronique le plus moderne. Selon cette version, Aegis a
aussitôt repéré de très loin l’approche de la
machine, ce qui a déclenché l’alarme de combat.
Tout marchait selon les plans, les radars américains ont
relevé le tracé de l’approche de l’avion jusqu’au but.
Mais soudain tous les écrans se sont éteints, Aegis ne
fonctionnait plus du tout, les missiles ne pouvaient plus
être guidés. Le Su—24 survola le pont du destroyer,
exécuta une courbe comme dans un combat, et imita
une attaque de missiles contre la cible. A la suite de
quoi, il ?t demi—tour et répéta la manœuvre 12 fois de
suite à une hauteur de 150 mètres au—dessus de la
surface de l’eau. Après tout, on a pu en juger, toutes les
tentatives ont échoué pour remettre en fonction Aegis,
a?n de redonner la capacité de guidage vers une
cible de ces moyens de défense anti—aérienne. La réaction
de la Russie face à la pression militaire des USA,
aurait pu être de détruire tranquillement la menace,
a dit Pawel Solotarjow :
«Il s’agissait d’une démonstration dans les règles de
l’Art. Un bombardier sans armement, mais avec à bord
des appareils de neutralisation radio—électronique des
moyens radios de l’adversaire, s’est approché d’un
destroyer. Celui—ci était équipé de l’armement aérien le
plus moderne, mais qui pourtant lors de la mise en
service du système russe, n’a pas répondu. Il n’en a pas
seulement résulté une réaction nerveuse du fait du survol
de l’avion, lequel était pratique courante lors de la guerre
froide. Il s’en est suivi aussi une réaction désespérée
surtout du fait que le système le plus moderne, et avant
toutes choses la partie de mesure d’informations et
d’émissions radios, n’a pas fonctionné alors qu’il était
sollicité de manière plus qu ’urgente ! »
Après cet incident, le destroyer Donald Cook, ainsi
que les médias étrangers l’ont rapporté, a rallié au plus
vite un port en Roumanie. Là, les 27 membres d’équipage auraient remis leur démission.
On dit que ces 27 personnes auraient écrit qu’ils
n’avaient pas prévu de mettre leur vie en jeu lors de cette
mission.
Ceci a été con?rmé indirectement par une explication du
Pentagone. Il y est af?rmé que cette action aurait
démoralisé l’équipage des bateaux américains. Que retient un soldat dans une armée et que
retient un partenaire d’une alliance dans cette alliance,
dirigée par les USA, lorsque les armes pilotées par une
électronique sophistiquée, tombent en panne, exactement
au moment où elles sont sollicitées pour une
mise en service immédiate ? Nul ne peut rester indifférent
à un évènement de cette nature.
C’est sur ce point que l’OTAN doit procéder à un
rééquilibrage des armements aussi vite que possible.
Mais elle ne le peut que si elle comprend la physique qui
est ici employée. En tant que professionnel de la
physique des champs, je me sentais autorisé à écrire un
article sur ce thème et a le publier dans le Journal —
NET (pour les Nouvelles Technologies Electroniques)
II. La physique derrière les super-armes magnétiques
Article dans le Journal NET [1]. Grâce à des champs magnétiques puissants
mais inconnus, des systèmes de guidage électronique
ou des appareils ont été perturbés ou bien même
le cas échéant, totalement détruits. Ont été
touchés ainsi par exemple, les armes ultra—modernes en service
lors du con?it actuel en Syrie, de même la communication
et la coordination de l’OTAN [2].
« i…
'
1 w& %, Le 12 Janvzer 2016 [ Iran a iniercepte par
la force 2 bateaux de commandos—US de type CB-
90. Les 2 navires ont montré une défaillance de leur système GPS de repérage et de toute
communication de navigation par radio avec le porteaw‘on US voisin [3].
Lorsque quelqu’un ne comprend pas la technique employée, alors on l’appelle un « miracle
». Mais pour les faits cités plus haut, il existe bel et bien
de vraies raisons, qui trouvent leur origine dans la
gestion des sciences faite à l’Ouest. Celle—ci par
exemple refuse tout élargissement des équations décrivant l’électro—
magnétisme et élève les lois écrites par Maxwell à la
masse de toute chose, ou bien en fait une profession de
foi. Or justement, ces équations constituent la
base de la compréhension de ces « miracles » d’ordre
technologique. Comment doit se sentir aujourd’hui un Professeur
Lehner3 de l’Université de Stuttgart, aprés avoir refusé
mon article sur la découverte du vortex potentiel en
1990, pour une publication dans les archives de
l’électrotechnique, sous le prétexte que l’extension que
j’avais faite de la 3e équation de Maxwell était
inadmissible (4) ? Il se pourrait pourtant, que justement cette
extension refusée soit le fondement physique des armes
secrètes russes. Ce qui fait que si ce Professeur et
ses collègues bien—pensants, avaient pratiqué la liberté
en matière de recherche, alors l’OTAN ne serait pas militairement
en retard, comme il semble que ce soit le cas
a présent en Syrie.
Cependant, j’admets que je me réjouis ouvertement de
systèmes magnétiques utilisés à des ?ns militaires, peu
importe, entre quelles mains ils se trouvent. De tels
systèmes, qui détruisent les armes guidées électroniquement, peuvent constituer une
contribution à la paix dans ce monde, aujourd’hui caractérisé
par une course a l’armement sans limite !
C’est pour cela que toutes les personnes sur cette terre,
qui se sentent en devoir de favoriser la paix, doivent
espérer que non pas seulement les russes, mais
également tous les autres pays, puissent disposer de ces
armes magnétiques sophistiquées. Comme par exemple,
l’armée allemande, qui pour remplir ses missions de
défense, n’a besoin que de ce type d’armes. Les armes
d’attaque de l’OTAN sont plutôt contraires à toute
volonté de paix, mais dans le futur, elles seront à peine
utilisables ; ce futur—là ayant déjà commencé en Syrie.
L’université de l’Armée allemande m’avait invité en 2001
à Munich et ses membres m’avaient écouté, a?n de
contester ?nalement les propriétés des ondes scalaires
mises en avant of?ciellement par mes soins. Encore aujourd’hui, je dois me défendre
contre d’anciens collaborateurs de l’OTAN, comme
le Professeur Thomas Eibert de Münich, qui était présent
avec un collègue de l’US Air Force lors du PIERS
2015 à Prague et qui s’était mis en devoir de dévaloriser
ma recherche sur les ondes scalaires. A cette ?n, mes articles
professionnels n’avaient pas été mentionnés par ces 2
personnages, et mes 3 publications, pourtant passées
avec succès dans les journaux à comité de lecture, ont
été bloquées de manière anonyme. La bonne nouvelle est que le changement de
mentalité a déjà commencé en secret. A présent, la
chasse au temps perdu a déjà commencé au sein de l’Alliance
de l’Ouest, laquelle a pourtant été distancée de 25
ans a cause de l’ignorance de ses scienti?ques.
Si les soldats de l’armée allemande ne veulent plus
assister en lointains spectateurs, à ce que les militaires
russes démontrent en Syrie, alors ils ont besoin d’un
enseignement postuniversitaire en électro—technique. Il
est donc à présent nécessaire d’analyser en détails la
technologie qui est engagée là—bas, ainsi que la physique
qui la sous—tend. Le test ESD
L’enquête commence dans un laboratoire EMV (pour la
détection de la sensibilité électro-magnétique). Ici tous
les appareils doivent être soumis à un test EMP (pour
signal électromagnétique). Les tests de routine
comprennent en pratique d’abord une ESD (décharge
électrostatique), c’est—à—dire une décharge de haute
tension. Si le test est strictement conduit, seulement un
signal électrique (EP), se distingue par le fait que le
porteur de charge (conformément à la divergence D — div
D — de la 4e équation de champ de Maxwell) est rayonné
et dirigé sur l’objet test. Si l’électronique est suf?—
samment protégée, par exemple dans une cage de
Faraday imperméable aux HF, alors elle réussit le test et
autant le fabricant que l’utilisateur vont croire a tort en
une sécurité, car en réalité elle est trompeuse.
En effet les appareils électroniques testés avec le test
ESD sont complètement non protégés face a un signal
MP (pulse magnétique). Un test de ce type en pratique
n’existe pas (excepté l’usage militaire qui en est fait en
Syrie). La sécurité supposée est établie par les tenants
de Maxwell, qui considèrent que dans la 3è équation de
Maxwell, la partie Divergence B doit être égale à zéro
(Div B = 0). La nature, comme les scienti?ques russes
sont d’un autre avis à l’inverse des scienti?ques de la
pensée dominante ou bien formés à l’Ouest. Il n’y a pas loin du Capitole à la roche
tarpéienne, ainsi s’exprime le proverbe !
Mon livre « les ondes scalaires » (6) a été reçu en même
temps, à la fois par les scienti?ques de l’Est et de
l’Ouest. La NASA en a même fait un rapport et en a
publié un résumé. Vis-à—vis de cette connaissance et
avec ce livre, la situation de départ des grandes
puissances mondiales a donc été identique. La base de ma théorie est l’élargissement
des équations de champ de Maxwell. En particulier, j’en
viens continuellement au cas où la divergence B
n’est pas égale à zéro. Bien au contraire, le cas
où Div B = 0 est un cas particulier, signi?ant sur un plan
technique, ainsi que je m’en explique depuis 25 ans
!
A côté, beaucoup d’autres cas paraissent exister en
nombre, pour lesquels la partie de l’équation div B est
différente de zéro. Parmi eux les monopoles magnétiques
et le vortex potentiel découvert par moi—même, et aussi
apparemment les systèmes d’armes magnétiques des
russes. Cela devrait valoir la peine d’étudier plus avant
de manière synthétique ces nombreux phénomènes. Les monopoles magnétiques
Pour des raisons de symétrie, le prix Nobel Paul Dirac
avait déjà supposé l’existence de monopoles magnétiques. A défaut de démonstration
technique, ils sont restés depuis lors comme inexistants
jusqu’à leur redécouverte par la société Helmholtz à
Berlin et à Dresden en 2009. Le Pr Dr Adalbert Prechtl
6, prorecteur de l’université technique de Vienne, m’écrivit
que l’expérimentation publié dans la revue
Science, relative aux monopoles magnétiques, ne changerait
rien à la 3è équation de Maxwell, ce à quoi je lui répondis
: je dois attirer votre attention sur le fait que la
3è équation de Maxwell justement, dé?nit très exactement
ce qu’est un monopole magnétique.
Je suppose que ce faux prétexte a été choisi, parce qu’il
était clair pour ce professeur d’électrodynamique qu’une
maison en carton va s’effondrer, si avec le vecteur poten—
tiel A, on retire sa base à toute l’électro—dynamique !
(A l’intention des mathématiciens : comme selon la
dé?nition B = rot A s’ensuit que div B = div rot A et doit
être = 0). Dans mon livre portant sur une électro—dynamique
qui soit exempte de tout reproche, les conséquences
ont été tirées et discutées en termes physiques
et mathématiques, de ce qui s’ensuit lorsque
le vecteur potentiel est remplacé par le vortex potentiel,
découvert par moi—même en 1990 [9].
Refuser cette extension de la 3è équation de Maxwell est
un prétexte pour chaque professeur spécialisé, sans
doute plus confortable que la rédaction propre de
manuscrits ou de publications entières. Il est pour lui
sans conséquences de désavouer ou d’ignorer quelques
publications jugées sans importance et parsemées d’erreurs. [8]
Mais la page a été tournée : aujourd’hui, chacun peut
avoir peur d’une intrusion surprise venant de Russie,
laquelle pourrait mettre hors service toute l’électronique
d’une personne, simplement sur ordre: le téléphone
mobile, le PC, l’automobile, l’alimentation en courant
électrique de toute une maison, etc Sur cet exemple,
chacun peut voir que l’ignorance en science peut se
payer cher ! Si la société Helmholtz peut fabriquer techniquement
un monopole, alors les militaires le peuvent
certainement aussi. La fabrication peut se faire sans problème
avec des bobines, grâce a une séparation classique
des pôles magnétiques dans le sens d’un dipôle.
Si l’on choisit une con?guration, selon laquelle un pôle est
supprimé, alors on obtient un monopole chargé inversé. Ses
lignes de champ ouvertes s’étendent théoriquement
à l’in?ni. Si elles trouvent un récepteur, alors elles
se réunissent à cet endroit et récupèrent leur force de
champ initiale ainsi que leur énergie.
C’est de ce phénomène que vient la force de destruction
énorme d’un monopole magnétique. Pour le cas où les bobines sont alimentées
avec une tension alternative, alors apparait un monopole
magnétique oscillant, avec des propriétés inductrices
additionnelles dans les circuits électroniques intégrés.
Pour le cas, où le travail se ferait avec une vitesse de
changement de la tension très élevée (du.dt), par
exemple, lors d’une décharge de haute tension au
travers d’un éclateur, alors apparait un signal
magnétique avec une con?guration en rapport, pour une
augmentation supplémentaire de l’ef?cacité. La diffusion dans l’espace se fait soit
sous forme de rayonnement, soit sous la forme d’une onde
scalaire. Dans ce cadre, les vortex potentiels découverts
par moi en 1990, jouent un rôle central.
Le vortex potentiel Les tourbillons forment grâce à l’effet
de surface bien connu, des vortex d’expansion qui se séparent
les uns des autres, lesquels avec la distance perdent
de leur ef?cacité. Techniquement, pour une transmission
d’énergie, ce phénomène est parfaitement inutilisable,
par exemple pour une usine de fusion. Or toute utilisation technique d’énergie
se réalise après un antivortex, pourvu d’un effet de concentration
prononcé. Dans la théorie des champs selon Maxwell et
de même, dans toute la littérature correspondante, ce
type de vortex est inconnu. Je l’ai baptisé « vortex
potentiel », tel que le rapportent mes livres professionnels édités sur ce thème. (10).
Le vortex potentiel élargit la théorie des champs
en y introduisant cette propriété absolument
essentielle, permettant la prise de forme de toute chose.
Dans les manuels scolaires, on a réussi à créer jusqu’à
maintenant la dérivation des structures, des propriétés
des particules élémentaires et des quanta grâce à la
classi?cation périodique des éléments, et également les
propriétés de ce qui a été postulé comme des constantes
naturelles par la physique quantique, en l’absence d’une
théorie utilisable. Le vortex potentiel se laisse alors
dériver à partir de lois connues et acceptées, sans
introduction de postulats. Pour cela la dérivation révèle une dualité
parfaite. Le manuel scolaire décrit la densité de ?ux
(A/ m2) par des lois d’écoulement (lère équation de Maxwell),
des courants tourbillonnaires le long d’un conducteur
électrique. En dualité, la dérivée d’une densité
de potentiel (V/ m2) se réalise en lois d’induction (2è équation
de Maxwell). Cette densité de potentiel décrit le vortex
potentiel dans un diélectrique, comme jusqu’à présent
aucun manuel scolaire ne l’a décrit.
Celui qui ici parle d’une densité de courant magnétique
(4) se met lui—même des bâtons dans les roues, car cette
dénomination inutilisée va à l’encontre de la dualité et à
l’encontre de l’unité utilisée (en V/ m2). Pour ce qui est
d’une densité de potentiel dans un isolant, il ne s’écoule
de fait rien. D’autres théoriciens des champs se battent
sur des positions perdues d’avance, quand — sur
la base de contraintes techniques de mesure — ils essaient
de ressusciter le vecteur potentiel, grâce a
des postulats réinventés pour l’occasion (par ex AIAS).
Nous connaissons de nombreux phénomènes dans la
nature, au cours desquels un effet de concentration est
clairement à l’œuvre. Lors d’un éclair par exemple, les
molécules de l’air sont d’abord concentrées très
fortement, jusqu’à ce qu’elles deviennent une sorte de
plasma et que l’air forme brutalement un canal
électrique conducteur. Et a chaque éclair, le tonnerre
qui l’accompagne vient également de la concentration
soudaine de l’air. D’autres exemples, comme l’effet
Corona, sont observables dans le domaine du champ
électrique. Des effets de concentration magnétique sont
à peine présents dans notre monde, et c’est pour
cela que l’axiome de la non—existence d’un monopole
magnétique a pu tenir aussi longtemps. Mais cela n’exclut
pas une fabrication arti?cielle de ces monopoles et
donc leur utilisation technique. Cela étonne toujours
ceux qui ont été éduqués avec les équations de champ
anciennes et qui continuent de croire fermement à ce qu’ils
ont appris.
Les ondes scalaires La Divergence B se rencontre a nouveau dans
l’équation de l’onde (de d’Alembert en 1747 et de
son élève Laplace) : AB = (1/02).52B/6t2), dans la décomposition
de l’opérateur de Laplace (AB = grad div B — rot rot B).
Dans les manuels scolaires, il est constamment considéré que la Divergence B = 0. Mais
quand elle n’est pas nulle, alors elle décrit mathématiquement

parlant, une dimension scalaire, c’est—à—dire
sans direction. Le gradient utilisé sur cette grandeur scalaire
est un vecteur.
Donc en résumé: une partie de l’équation de l’onde
(grad div B) décrit la diffusion selon une direction
donnée d’une grandeur scalaire qui n’est pas dirigée, et
qui a été décrite par moi en toute logique par le terme
« d’onde scalaire ».
Pour ce qui est de l’autre partie de l’équation (—rot rot B),
il s’agit de l’onde électro—magnétique bien connue.
Si l’équation rendant compte de l’onde était une
construction mathématique pour nos pères, sans
référence a une réalité électro—technique, par contre leur
dérivée mathématique est aujourd’hui possible a partir
des équations de Maxwell(lO). Et cela est nouveau.
Pour un transfert d’énergie, il ne faut considérer que
l’onde scalaire, laquelle diffuse de manière longitudinale
dans le sens du vecteur de champ. Pour celui qui veut
rassembler et utiliser ces ondes scalaires comme
sources « d’énergie libre », alors la structure du champ
scalaire et la représentation en nœuds de l’onde vont
particulièrement l’intéresser. Un groupe de personnes très motivées et
ayant cette vue d’ensemble, est actuellement en recherche
a?n de concentrer ces ondes scalaires. En cas de
succès, ces personnes vont être freinées voire combattues,
bien que leur motivation soit morale et devrait être
reconnue et protégée par tout Etat. Dans ce domaine,
beaucoup doivent encore apprendre ce qu’est un changement
de paradigme.
Tolérance / sensibilité biologique L’homme et la nature sont vis—à—vis
des champs magnétiques statiques tout à fait insensibles
et ce, de manière étonnante. Toute personne, qui a
été placée dans le champ d’un appareil à résonance
magnétique nucléaire peut le con?rmer, car il se situe
a une valeur 20 000 fois plus élevée que le champ naturel
de la terre. Par contre, vis—à—vis de champs perturbateurs
électriques, l’être humain se révèle beaucoup moins bien
protégé.
Dans le cas de champs magnétiques alternatifs au
contraire, sont connus autant des effets positifs que des
effets négatifs. Cela dépend si une personne entre en
résonance avec ou pas ? Et s’il y a effet délétère ou
béné?que, il suf?t d’amplitudes très petites.
C’est sur cette base que fonctionnent quelques appareils utilisés en Médecine alternative.
De même des informations de médicaments ont pu moduler
une onde scalaire et être transportées vers un patient
(12). La méthode a été testée et démontrée sur
des levures en culture cellulaire (13) et aussi sur des pois
en germination (14).
Bien que la communication cellulaire travaille aussi
avec des ondes scalaires magnétiques, ce manque de
sensibilité contre des perturbations extérieures pro?te
de la haute complexité des modulations externes. Ici
une information établie dans le domaine des UV (ultra—
violets) va être modulée dans un signal IR (infra—rouge),
puis à nouveau en micro-ondes et en?n en ondes
cérébrales, opérations dans lesquelles à chaque étape de
modulation, la complexité (de l’onde) augmente. Pour
une activité biologique la résonance est nécessaire et
celle—ci connait 3 critères, qui doivent être remplis !
i. Il faut une onde porteuse identique, ii. Et une phase opposée
iii. Et en?n une courbe de l’onde identique Il ne faut pas oublier de mentionner que dans
ce domaine aussi, une mauvaise utilisation est
possible. Celui qui se cache la tête dans le sable,
ne doit pas s’étonner s’il devient à la ?n, victime
de sa propre étroitesse d’esprit.
Résumé. La théorie formulée mathématiquement par
les équations de Maxwell n’est pas capable
d’expliquer les super—armes magnétiques, avec lesquelles
l’armée russe perturbe — quand elle ne provoque pas carrément
une mise hors service — les armes pilotées
par l’électronique et les systèmes de communications de l’OTAN
(Mer Baltique, Mer Noire, Syrie).
Dans ce chapitre est expliqué, pourquoi la liberté de la
source de l’intensité de ?ux magnétique n’est plus
pertinente, lorsqu’un vortex de champ est mis en action
ou bien produit, et lorsqu’il est rayonné en tant qu’onde
scalaire. Cette onde peut causer des dégâts énormes sur
un récepteur, lorsque la résonance est atteinte et que
l’énergie se concentre et est absorbée. L’élargissement de la théorie des champs
fonde en partie une nouvelle Physique ainsi que des changements
de base dans le domaine de l’électro—dynamique
(9). Personne ne peut ignorer cela, s’il veut
savoir pourquoi un appareil électronique ne fonctionne plus
après application d’un signal magnétique pulsé
suf?samment fort.
La construction d’un récepteur en vue d’absorber de
manière ciblée le rayonnement est considérablement plus compliquée que de fabriquer un émetteur
con?guré en monopole, ainsi que les russes en ont fait
le test grandeur nature. Pour comprendre cela, la
nouvelle théorie de champ élargie, est indispensable.
La pièce centrale de cet élargissement est le vortex
potentiel découvert par moi en 1990. L’effet de
concentration de ce vortex explique la création d’un
vortex de champ et sa propagation en tant qu’onde
scalaire. Il est possible que pour des non—professionnels
les rapports de faits, qui ont été brièvement
décrits ici, ne soient pas immédiatement accessibles, mais
nous allons y revenir a nouveau. Au mieux à présent,
nous allons nous projeter loin en arrière, très loin,
jusqu’aux racines de la technique des ondes scalaires. Déjà
nous allons apprendre et comprendre comment la technologie
se développe lentement et comment elle a pu
devenir une arme de la guerre froide. En ?n de compte,
« la guerre froide » n’était pas une phase
de paix, mais comme son nom l’indique déjà, une « guerre
», que l’on devrait nommer très exactement :
« La guerre des ondes scalaires ».
III. Aux racines des ondes scalaires
L’équation d’une onde Les ondes et les vortex étaient déjà le
modèle en cours pour les philosophes grecs de la nature il
y a 2500 ans, a?n de décrire la Nature (voir Démocrite
460—371 avant J .C). Vous trouverez des applications pratiques
de cela, de la technique de communication des Dieux
(l) jusqu’aux francs—maçons, en passant par
diverses sociétés secrètes. En vérité sur ce point,
il y aurait un gros besoin d’information, car beaucoup
de membres de ces sociétés ne savent plus du tout quelle
signi?cation leurs actions de culte actuelles avaient eu
autrefois. Non, je voudrais commencer ce chapitre d’une
autre manière, car je vois les racines des ondes
scalaires dans les mathématiques. C’est d’Alembert,
un mathématicien français et franc—maçon, qui le premier
a écrit l’équation décrivant une onde en 1747. Avec ce que l’on
a nommé après lui l’opérateur, l’équation s’écrit
de manière très simple (voir le tableau chronologique).
Il put ainsi décrire mathématiquement la corde
oscillante d’un instrument de musique, ce qui était le
but qu’il s’était ?xé. Son élève Laplace répartit cet opérateur
selon un terme, qui décrit d’une part la partie de l’équation
rapportée au temps et d’autre part celle qui est rapportée
à l’espace. En?n, il sépara le tout dans les 3 directions
de l’espace, et raccourcit l’équation avec l’opérateur
delta, qui en son honneur a aussi été nommé l’opérateur
de Laplace. Sa façon d’écrire l’équation d’une onde
est aujourd’hui celle qui est utilisée encore dans tous les manuels
scolaires.
James Clark Maxwell. C’est seulement plus de 100 ans plus tard,
que l’écossais James Clark Maxwell s’occupa
en tant que physicien et mathématicien des ondes. Pour
ce Professeur au King’s College de Londres,
les équations des ondes et leurs solutions mathématiques
appartenaient à un enseignement révolu. Plus tard
avaient déjà été posées les bases d’un enseignement de
l’électricité par Coulomb, et étaient déjà connues celles
du magnétisme par Oersted, Weber et Ampère. Maxwell s’inspira de la découverte de l’induction
par Faraday, qui avait avec celle—ci trouvé
un pont entre les 2 disciplines (NdT : électricité et magnétisme)
et formula ceci comme une loi mathématique. C’est
ainsi que nous mesurons, par une simple dérivée du champ
magnétique en fonction du temps, une tension électrique.
L’équation de l’onde prévoit toutefois une seconde
dérivée en fonction du temps. A ce stade, il fut aidé par
le fait qu’il pouvait introduire une nouvelle grandeur
dans la loi d’écoulement, a?n de ne pas blesser la
continuité de l’équation. Cette grandeur nommée par
lui, attachée à un courant de déphasage d’abord
postulé, se manifestait aussi dans la première dérivée en
fonction du temps selon Ampère, ce qui fait qu’il pouvait
désormais introduire cette équation élargie (l. Equation
de Maxwell) dans la loi d’induction (2è équation de
Maxwell). C’est ainsi que fut déduite la seconde dérivée
du temps, exactement comme dans une onde. Maxwell présenta son travail (une théorie
dynamique du champ électromagnétique) devant la Royal

Society (3).

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